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il y a 4 ans
Deux infirmiers pour moi
C’était la première fois que je rentrais en clinique, et je n’étais guère enchanté d’y séjourner dix jours. De plus, l’ectopie testiculaire qui m’y avait amené me faisait un peu honte. J’avais l’impression d’une atteinte à ma virilité. Aussi, ma mère m’avait fait la faveur de me prendre une chambre particulière. Je tenais à voir le moins de monde possible.
L’infirmier qui m’installa affichait un air goguenard. Encore un qui a des goûts de luxe ! avait-il dit à son jeune collègue, un stagiaire à peine plus âgé que moi. Ces deux-là, je devais les voir tous les jours, jusqu’à ma sortie. J’éprouvais pour ce grand Noir d’infirmier une antipathie mêlée d’attirance. Il dégageait une sensualité presque provocante qui ne me déplaisait pas. Éric, le stagiaire, était touchant de fragilité et d’innocence. Ses grands yeux bleus, ses cheveux blonds coiffés en brosse plaisaient beaucoup, à entendre la fille de salle qui m’apportait mes repas.
— Mais ces deux-là ne sont pas très normaux ; vous voyez ce que je veux dire ? Il parait qu’ils se font des trucs pas très catholiques...
Elle s’était interrompue, avec une grimace de dégoût. La nuit-même, je me suis caressé sous les draps en les imaginant nus, étroitement enlacés, les lèvres soudées et les mains baladeuses. J’en ai mouillé abondamment mes draps. Trois jours passèrent avant mon opération. La veille, en fin d’après-midi, ils sont venus tous les deux. Yvon, l’infirmier, semblait plus moqueur encore que d’habitude. Avec eux, ils avaient amené un chariot métallique, contenant mousse et rasoirs. Yvon me regarda d’un air amusé, et repoussa mes draps. Éric restait immobile, comme gêné. L’infirmier me demanda de relever ma liquette et je me suis exécuté. Ses doigts sombres étalèrent la crème blanche sur mon pubis et mes couilles. Son regard baissé sur mes attributs virils n’était pas indifférent. Cela m’enchanta, d’autant plus qu’Éric, malgré ses mines innocentes, observait la scène avec intérêt. La lame aiguisée et étincelante me fit trembler, mais tout se passa avec douceur et j’ai aimé les caresses si particulières qu’Yvon me procurait. Mon bas-ventre terminé, il serra mes couilles entre ses doigts. Je ne pus réfréner un début d’érection, ce qui fit sourire l’infirmier.
— Tu vois que ce n’est pas si désagréable !
Il jeta un regard entendu au jeune stagiaire. Le blond s’agitait, les mains mobiles, enfoncées dans les poches de sa blouse. J’imaginais qu’il se caressait discrètement. Je savourais cette sensation fraîche et légère du rasoir sur la peau tendue de mes testicules. Quand il eut fini son œuvre, Yvon appliqua une serviette humide et tiède, puis étala de la crème adoucissante sur ma peau désormais imberbe. Malgré tous mes efforts pour me contrôler, une nouvelle érection dressa mon sexe. Yvon eut un autre sourire, plus appuyé, et ses doigts enserrèrent ma hampe en une étreinte rapide. Il me relâcha aussitôt, fixa mon gland décalotté. L’expression de son regard changea, passa de la moquerie au désir. Puis il recouvra son air espiègle.
Il replongea sa langue dans mon petit trou
— À très bientôt, mon joli !
Éric me dédia une jolie risette de bébé pervers. Avant que la porte ne reclaque derrière eux, je vis la main noire caresser ostensiblement le postérieur du jeune blond. Je rabattis les couvertures sur moi, pour m’adonner à une féroce branlette qui auréola abondamment les draps.
Je me suis réveillé de l’opération, le ventre endolori, tiraillé par d’horribles fils sous mes pansements. Je me sentis vite mieux. Les deux complices me rendirent visite tous les jours.
— Pas de branlette en ce moment ! avait ricané Yvon, et sa main avait pétri son entre-cuisses.
Je le maudissais, par instants. Ses gestes provocants m’occasionnaient des débuts d’érection vite refrénés par la douleur. Il alla jusqu’à se déculotter devant moi, me montrant en un éclair deux fesses noires et rondes. Je dus chasser cette image de ma pensée pour m’épargner quelques tiraillements désagréables. Éric, lui, restait effacé, mais son regard bleu témoignait de son désir évident à mon égard.
Vint le jour tant redouté où l’on devait m’ôter les fils. Yvon m’annonça qu’Éric allait s’occuper de cela. J’ai frissonné. Et si les mains de ce jeune stagiaire n’étaient pas assez expérimentées ? Mais je me tus, trop heureux d’avoir le joli blond si près de moi. Je l’entendis respirer profondément en retirant mes pansements. Il contempla longuement mon sexe avant de se mettre à l’œuvre. Je ne sentis que de petits picotements au lieu de la douleur redoutée. Quand Éric eut terminé, Yvon frappa dans ses mains.
— Bon ! Il a été bien sage ! On va le récompenser ! Éric ? À toi de jouer.
L’étonnement me cloua sur place. Le stagiaire, après un instant d’hésitation, se mit à caresser ma queue. J’ai fermé les yeux. Je me sentis raidir, sans aucune douleur. Lorsque je les rouvris, je vis le beau minois d’Éric penché sur ma queue bandante. Ses lèvres humides m’enveloppèrent d’une délicieuse chaleur. Adossé à la porte, Yvon avait sorti sa bite et l’effleurait longuement. je regardais alternativement les lèvres gourmandes d’Éric et le membre long du Noir. Sa queue n’avait pas la dureté habituelle d’un sexe de Blanc. Pourtant, elle me semblait appétissante, épaisse et gonflée. Il s’approcha de nous.
— Éric ? Montre-lui comme elle est bonne.
Docilement, le jeune homme me délaissa pour gober la belle tige sombre. Ce spectacle m’excita et j’eus soudain envie d’être à la place du stagiaire. Je fus exaucé. Yvon se déshabilla, exhibant ses muscles saillants, Éric disparut derrière lui, et la longue bite de l’infirmier se posa sur mes lèvres, les ouvrit, puis remplit ma bouche. Les quelques fellations que j’avais faites jusque là m’avaient vaguement plu. Celle-ci me convainquit. C’est à regret que je sentis Yvon se dégager de ma gorge. Éric s’abattit sur mon visage, sa langue s’enroula autour de la mienne, en un baiser fiévreux.
Je sentis les mains d’Yvon pousser mes cuisses et les rabattre sur ma poitrine. Ses doigts écartèrent mes fesses, et sa langue se colla à mon anus. Yvon se retira un instant pour ordonner à Éric d’ôter ses vêtements et de ne garder que sa blouse. Puis il replongea sa langue dans mon petit trou, m’arrachant des spasmes de plaisir. Le jeune stagiaire grimpa sur le lit, et s’accroupit au-dessus de mon visage. Sa blouse m’isola de la pièce et je ne vis plus que son joli cul, aux fesses bombées. Je les ai écartées, j’ai admiré l’œil rose et plissé de son anus que je me suis empressé de goûter.
C’était une première pour moi, et je me suis délecté de cette saveur d’homme. Leurs deux bouches glissèrent sur mon gland, ma hampe et mes couilles. Puis je fus soudainement immobilisé. Des s a n g les me clouèrent au lit, me plaquèrent les bras contre le matelas. Leurs mains me soulevèrent, redressèrent ma croupe. Bras et jambes liés, fesses maintenues fermement, je sentis leurs doigts dilater mon anus. J’aurais crié si je n’avais senti les mains d’Éric me caresser, et sa voix douce me rassurer.
Les cuisses du Noir se plaquèrent contre les miennes. Ma corolle anale se dilata sous la poussée ferme de la longue bite d’Yvon. Je m’attendais à la douleur, je fus terrassé par un plaisir intense, au point de souhaiter que cette belle queue me fourrage encore plus fortement. C’est ce qui arriva. Éric se mit à gémir. Ses giclées chaudes m’aspergèrent le visage. Dans un état second, je sentis mon anus se mouiller, en même temps que mon propre sexe se vidait de sa semence, sans aucune aide extérieure.
De ce séjour à la clinique, je garde surtout cette image : nos trois corps apaisés, pêle-mêle sur le lit, mes s a n g les desserrées, la belle queue d’Yvon encore plaquée contre mes fesses, le regard tendre d’Éric ; le plaisir, l’inattendu, et un peu l’amour.
Christophe
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